Sanoja: Bams. Vivre Ou Mourir.
Obsedee par le vide, le neant,
le trou noir qui s'ouvre devant moi geant comme un milliard
Vingt ans, vingt piges, je me sens deja tarire,
lasse, assez de hair, de me sentir envahir
de mauvaise vibes auxquelles je dois obeir
que dois-je choisir, vivre ou mourir?
Mourir, l'idee flirte avec mes neurones,
chacun ses handicaps, on doit pourtant vivre dans cette faune,
au risque de finir tombifiee dans l'hexagone,
fortifiee par methadone, zombifiee par l'aumone
dans ma vie y a que des clones de fantomes
tout change comme un sein en silicone
Refrain
mon dieu, mon dieu...
je vois ma vie comme une zone..
lourde d'un passe charge
je me sens pesee tout un tas de choses
qu'on a voulu m'imposer et raisonner
des mots resonnent dans ma tete
comme une bete qu'on cherche a apprivoiser
trop folle pour eux
on veut me maitriser
je suis paralysee, desabusee, c'est abuser
ecoute, sans voix comment ca m'a use epuise
une vraie nevrosee,
est-ce par faiblesse ou par exces de tendresse
pour mes paternels et au distributeur de caresses
combien de temps me faudra-t-il pour gagner la sagesse?
pour qu'enfin je me redresse?
Refrain
Il n'y a plus rien dont je raffole,
plus rien dont je rigole,
y a que cette odeur de formol
qui me colle au grolles.
Noyee, perdue dans de bonnes paroles,
clouee au sol, je devrais voir mon aureole.
Je ne vois que de maigres guibolles,
symboles du monopole du sex symbol,
y'en a ras-le-bol!
J'ai plus la force de lutter,
de torse pour encaisser,
trop d'entorses, faut m'amputer.
Une existence de lutte, trop souvent j'ai chute
a chercher mon but, assez de me sentir persecutee
Blasee, blasee de discuter,
tout essuyer j'ai trop essaye,
il faut me pardonner.
Refrain
le trou noir qui s'ouvre devant moi geant comme un milliard
Vingt ans, vingt piges, je me sens deja tarire,
lasse, assez de hair, de me sentir envahir
de mauvaise vibes auxquelles je dois obeir
que dois-je choisir, vivre ou mourir?
Mourir, l'idee flirte avec mes neurones,
chacun ses handicaps, on doit pourtant vivre dans cette faune,
au risque de finir tombifiee dans l'hexagone,
fortifiee par methadone, zombifiee par l'aumone
dans ma vie y a que des clones de fantomes
tout change comme un sein en silicone
Refrain
mon dieu, mon dieu...
je vois ma vie comme une zone..
lourde d'un passe charge
je me sens pesee tout un tas de choses
qu'on a voulu m'imposer et raisonner
des mots resonnent dans ma tete
comme une bete qu'on cherche a apprivoiser
trop folle pour eux
on veut me maitriser
je suis paralysee, desabusee, c'est abuser
ecoute, sans voix comment ca m'a use epuise
une vraie nevrosee,
est-ce par faiblesse ou par exces de tendresse
pour mes paternels et au distributeur de caresses
combien de temps me faudra-t-il pour gagner la sagesse?
pour qu'enfin je me redresse?
Refrain
Il n'y a plus rien dont je raffole,
plus rien dont je rigole,
y a que cette odeur de formol
qui me colle au grolles.
Noyee, perdue dans de bonnes paroles,
clouee au sol, je devrais voir mon aureole.
Je ne vois que de maigres guibolles,
symboles du monopole du sex symbol,
y'en a ras-le-bol!
J'ai plus la force de lutter,
de torse pour encaisser,
trop d'entorses, faut m'amputer.
Une existence de lutte, trop souvent j'ai chute
a chercher mon but, assez de me sentir persecutee
Blasee, blasee de discuter,
tout essuyer j'ai trop essaye,
il faut me pardonner.
Refrain