Sanoja: Didier Barbelivien. Hai Phong.
Je viens toujours dormir chez elle
De l' autre cote du soleil
Et puis j' attends la nuit qui tombe
La bas dans la baie de Hai Phong
Ou les bateaux reviennent au port
Dans le silence des voiles sombres
Je parle peu je reve encore
En fumant l' Opium de Ti Wong
C' est si peu vous dire que je l' aime
Qu' Hiroshima est un poeme
Je vois passer des hirondelles
Dans ses miroirs dans ses dentelles
Je la sais brune, je la vois blonde
La bas dans la baie de Hai Phong
Il y a longtemps que je suis mort
Il y a longtemps qu' elle est une ombre
Je viens me noyer dans son corps
En fumant l' Opium de Ti Wong
C' est si peu vous dire que je l' aime
Qu' Hiroshima est un poeme
Je n' ose plus regarder le ciel
Avec ses avions caravelles
J' entends venir la derniere bombe
La bas dans la baie de Hai Phong
Il y a tell'ment de kilos d' or
De gens qui n' ont rien dans ce monde
Qu' a la minute ou elle s' endort
Je connais le prix des secondes
C' est si peu vous dire que je l' aime
Qu' Hiroshima est un poeme
De l' autre cote du soleil
Et puis j' attends la nuit qui tombe
La bas dans la baie de Hai Phong
Ou les bateaux reviennent au port
Dans le silence des voiles sombres
Je parle peu je reve encore
En fumant l' Opium de Ti Wong
C' est si peu vous dire que je l' aime
Qu' Hiroshima est un poeme
Je vois passer des hirondelles
Dans ses miroirs dans ses dentelles
Je la sais brune, je la vois blonde
La bas dans la baie de Hai Phong
Il y a longtemps que je suis mort
Il y a longtemps qu' elle est une ombre
Je viens me noyer dans son corps
En fumant l' Opium de Ti Wong
C' est si peu vous dire que je l' aime
Qu' Hiroshima est un poeme
Je n' ose plus regarder le ciel
Avec ses avions caravelles
J' entends venir la derniere bombe
La bas dans la baie de Hai Phong
Il y a tell'ment de kilos d' or
De gens qui n' ont rien dans ce monde
Qu' a la minute ou elle s' endort
Je connais le prix des secondes
C' est si peu vous dire que je l' aime
Qu' Hiroshima est un poeme
Barbelivien, Didier
Barbelivien, Didier
Suositut