Sanoja: Didier Barbelivien. L'adieu.
Adieu,
Aux arbres mouilles de septembre
A leur soleil de souvenir
A ces mots doux, a ces mots tendres
Que je t?ai entendu me dire
A la faveur d?un chemin creux
Ou d?une bougie allumee
Adieu a ce qui fut nous deux
A la passion du verbe aimer
L?adieu est une infinie diligence
Ou les chevaux ont du souffrir
Ou les reflets de ton absence
Ont marque l?ombre du plaisir
L?adieu est une lettre de toi
Que je garderai sur mon c?ur
Une illusion de toi et moi
Une impression de vivre ailleurs
L?adieu n?est que verite devant Dieu
Tout le reste est lettre a ecrire
A ceux qui se sont dit adieu
Quand il fallait se retenir
Tu ne peux plus baisser les yeux
Devant le rouge des cheminees
Nous avons connu d?autres feux
Qui nous ont si bien consumes
L?adieu, c?est nos deux corps qui se separent
Sur la riviere du temps qui passe
Je ne sais pas pour qui tu pars
Et tu ne sais pas qui m?embrasse
Nous n?aurons plus de jalousies
Ni de paroles qui font souffrir
Aussi fort qu?on s?etait choisi
Est fort le moment de partir
Oh l?adieu !
L?adieu c?est le sanglot long des horloges
Et les trompettes de Waterloo
Dire a tous ceux qui s?interrogent
Que l?amour est tombe a l?eau
D?un bateau ivre de tristesse
Qui nous a ronge toi et moi
Les passagers sont en detresse
Et j?en connais deux qui se noient
Adieu,
Aux arbres mouilles de septembre
A leur soleil de souvenir
A ces mots doux, a ces mots tendres
Que je t?ai entendu me dire
A la faveur d?un chemin creux
Ou d?une bougie allumee
Adieu a ce qui fut nous deux
A la passion du verbe aimer
L?adieu c?est le loup blanc
Dans sa montagne
Et les chasseurs dans la vallee
Le soleil qui nous accompagne
Est une lune bete a pleurer
L?adieu ressemble a ces marees
Qui viendront tout ensevelir
Les marins avec les mariees
Le passe avec l?avenir
Oh l?adieu !
Oh l?adieu !
(Merci a Charlotte pour cettes paroles)
Aux arbres mouilles de septembre
A leur soleil de souvenir
A ces mots doux, a ces mots tendres
Que je t?ai entendu me dire
A la faveur d?un chemin creux
Ou d?une bougie allumee
Adieu a ce qui fut nous deux
A la passion du verbe aimer
L?adieu est une infinie diligence
Ou les chevaux ont du souffrir
Ou les reflets de ton absence
Ont marque l?ombre du plaisir
L?adieu est une lettre de toi
Que je garderai sur mon c?ur
Une illusion de toi et moi
Une impression de vivre ailleurs
L?adieu n?est que verite devant Dieu
Tout le reste est lettre a ecrire
A ceux qui se sont dit adieu
Quand il fallait se retenir
Tu ne peux plus baisser les yeux
Devant le rouge des cheminees
Nous avons connu d?autres feux
Qui nous ont si bien consumes
L?adieu, c?est nos deux corps qui se separent
Sur la riviere du temps qui passe
Je ne sais pas pour qui tu pars
Et tu ne sais pas qui m?embrasse
Nous n?aurons plus de jalousies
Ni de paroles qui font souffrir
Aussi fort qu?on s?etait choisi
Est fort le moment de partir
Oh l?adieu !
L?adieu c?est le sanglot long des horloges
Et les trompettes de Waterloo
Dire a tous ceux qui s?interrogent
Que l?amour est tombe a l?eau
D?un bateau ivre de tristesse
Qui nous a ronge toi et moi
Les passagers sont en detresse
Et j?en connais deux qui se noient
Adieu,
Aux arbres mouilles de septembre
A leur soleil de souvenir
A ces mots doux, a ces mots tendres
Que je t?ai entendu me dire
A la faveur d?un chemin creux
Ou d?une bougie allumee
Adieu a ce qui fut nous deux
A la passion du verbe aimer
L?adieu c?est le loup blanc
Dans sa montagne
Et les chasseurs dans la vallee
Le soleil qui nous accompagne
Est une lune bete a pleurer
L?adieu ressemble a ces marees
Qui viendront tout ensevelir
Les marins avec les mariees
Le passe avec l?avenir
Oh l?adieu !
Oh l?adieu !
(Merci a Charlotte pour cettes paroles)
Barbelivien, Didier
Barbelivien, Didier