Sanoja: Jane Birkin. Les Avalanches.
Les avalanches que l'on declenche quand le dimanche on s'ennuie
et que meme l'ennui flanche
en regardant tomber la pluie
on se retrousse alors les manches
pour s'impregner de jalousie
ou es-tu, avec qui tu manges
y'a t'il une femme qui te sourit
et est-ce qu'elle se penche
vers toi, quand tu lui dis
que tu as tout ton dimanche
que l'on est loin de Paris
qu'avec moi et toi, ca flanche
que tu as besoin d'un peu de ta vie
mon homme est toujours dans l'adolescence
et c'est ca qui me ravit
il regarde toujours tomber les avalanches
comme il regarde tomber la pluie
les avalanches que l'on declenche
quand le dimanche on s'ennuie
on s'ennuie et on se penche
sur des doutes qui ne font pas un pli
qui font que l'on declenche
des murmures qui se deguisent en cri
le coeur n'est plus alors etanche
les pires soupcons sont meme permis
c'est comme une soif que l'on etanche
de details, de crayons gris
on tourne on tourne alors comme un dimanche
on ne pense plus au lundi
on regarde tomber comme une revanche
les avalanches de pluies
mon homme est toujours dans l'adolescence
et c'est ca qui me ravit
il regarde toujours tomber les avalanches
comme il regarde tomber la pluie
les avalanches que l'on declenche
quand le dimanche on s'ennuie
quand il est loin et que je pense
a tous ces petits non-dits
j'imagine qu'il s'avance
dans un bar une boite de nuit
un sourire plein de connivence
comme le jour ou il m'a pris
mais aujourd'hui c'est dimanche
et tombe tombe la pluie
comme pour noyer mes esperances
j'ai que cet homme la dans la vie
et la moindre de ses turbulences
me jetterait au tapis
je voudrais qu'il garde son innocence
qu'il me revienne pas sali
mon homme est toujours dans l'adolescence
et c'est ca qui me ravit
il regarde toujours tomber les avalanches
comme il regarde tomber la pluie
et quand on est ensemble le dimanche
il n'y a jamais d'ennui
et quand parfois sur moi il se penche
le doute n'est plus permis
le doute n'est plus permis
(Merci a Katherine pour cettes paroles)
et que meme l'ennui flanche
en regardant tomber la pluie
on se retrousse alors les manches
pour s'impregner de jalousie
ou es-tu, avec qui tu manges
y'a t'il une femme qui te sourit
et est-ce qu'elle se penche
vers toi, quand tu lui dis
que tu as tout ton dimanche
que l'on est loin de Paris
qu'avec moi et toi, ca flanche
que tu as besoin d'un peu de ta vie
mon homme est toujours dans l'adolescence
et c'est ca qui me ravit
il regarde toujours tomber les avalanches
comme il regarde tomber la pluie
les avalanches que l'on declenche
quand le dimanche on s'ennuie
on s'ennuie et on se penche
sur des doutes qui ne font pas un pli
qui font que l'on declenche
des murmures qui se deguisent en cri
le coeur n'est plus alors etanche
les pires soupcons sont meme permis
c'est comme une soif que l'on etanche
de details, de crayons gris
on tourne on tourne alors comme un dimanche
on ne pense plus au lundi
on regarde tomber comme une revanche
les avalanches de pluies
mon homme est toujours dans l'adolescence
et c'est ca qui me ravit
il regarde toujours tomber les avalanches
comme il regarde tomber la pluie
les avalanches que l'on declenche
quand le dimanche on s'ennuie
quand il est loin et que je pense
a tous ces petits non-dits
j'imagine qu'il s'avance
dans un bar une boite de nuit
un sourire plein de connivence
comme le jour ou il m'a pris
mais aujourd'hui c'est dimanche
et tombe tombe la pluie
comme pour noyer mes esperances
j'ai que cet homme la dans la vie
et la moindre de ses turbulences
me jetterait au tapis
je voudrais qu'il garde son innocence
qu'il me revienne pas sali
mon homme est toujours dans l'adolescence
et c'est ca qui me ravit
il regarde toujours tomber les avalanches
comme il regarde tomber la pluie
et quand on est ensemble le dimanche
il n'y a jamais d'ennui
et quand parfois sur moi il se penche
le doute n'est plus permis
le doute n'est plus permis
(Merci a Katherine pour cettes paroles)
Birkin, Jane
Birkin, Jane