Sanoja: Daniel Bélanger. L'équivalence Des Contraires.
Prends ma main et regarde-moi
dans les yeux (les deux c'est mieux)
j'ai (je crois) ce petit quelque chose!
Tu as mal car un mauvais homme,
sur ta seule situation,
a juge nulles ses chances d'oisivete
et t'a laisse tomber...
Je t'offrirai des feuilles de gui
de ce pays ou rien ne pousse pour seule frousse
que tu connaisses la chanson...
Moi pour qui le calembour s'offre
comme s'offre l'amour
« Je t'enleverai les rideaux de la douche »
Danse, danse avec moi
jusqu'a epuisement
Danse, danse avec moi
Ce n'est rien, non, ce n'est rien
Laisse ton corps battre le chagrin
Jusqu'a rupture, jusqu'a effondrement
Le soleil penche sur les comme toi jusqu'au jour ou redevenu droit
il se repose et se prend pour lui-meme
Dans ma main pose la tienne
Noyons nos yeux dans nos yeux
Soudons solides nos exasperations
Je sais bien, ou du moins, j'ose, croire en ce petit quelque chose
qu'on nomme l'equivalence des contraires
Danse, danse avec moi
jusqu'a epuisement
Danse, danse avec moi
Ce n'est rien, non, ce n'est rien
Laisse ton corps danser, ce n'est rien
Ce n'est rien
Ce n'est rien, non, ce n'est rien
Laisse ton corps danser, ce n'est rien
Ce n'est rien
Ce n'est rien, non, ce n'est rien
Laisse ton corps danser, ce n'est rien
Ce n'est rien
Ce n'est rien, non, ce n'est rien
Laisse ton corps danser, ce n'est rien
Ce n'est rien
Noye dans la chlorophylle a deux pissenlits de ton souvenir
Entends-tu mon invisible moi?
Entends-tu mon invisible moi?
Entends-tu ma reverie son boucan vient-il jusqu'a toi?
Percois-tu mon invisible moi?
Percois-tu mon invisible moi?
Allez, emporte-nous emporte nous deux
En un mot : ne me quitte jamais
dans les yeux (les deux c'est mieux)
j'ai (je crois) ce petit quelque chose!
Tu as mal car un mauvais homme,
sur ta seule situation,
a juge nulles ses chances d'oisivete
et t'a laisse tomber...
Je t'offrirai des feuilles de gui
de ce pays ou rien ne pousse pour seule frousse
que tu connaisses la chanson...
Moi pour qui le calembour s'offre
comme s'offre l'amour
« Je t'enleverai les rideaux de la douche »
Danse, danse avec moi
jusqu'a epuisement
Danse, danse avec moi
Ce n'est rien, non, ce n'est rien
Laisse ton corps battre le chagrin
Jusqu'a rupture, jusqu'a effondrement
Le soleil penche sur les comme toi jusqu'au jour ou redevenu droit
il se repose et se prend pour lui-meme
Dans ma main pose la tienne
Noyons nos yeux dans nos yeux
Soudons solides nos exasperations
Je sais bien, ou du moins, j'ose, croire en ce petit quelque chose
qu'on nomme l'equivalence des contraires
Danse, danse avec moi
jusqu'a epuisement
Danse, danse avec moi
Ce n'est rien, non, ce n'est rien
Laisse ton corps danser, ce n'est rien
Ce n'est rien
Ce n'est rien, non, ce n'est rien
Laisse ton corps danser, ce n'est rien
Ce n'est rien
Ce n'est rien, non, ce n'est rien
Laisse ton corps danser, ce n'est rien
Ce n'est rien
Ce n'est rien, non, ce n'est rien
Laisse ton corps danser, ce n'est rien
Ce n'est rien
Noye dans la chlorophylle a deux pissenlits de ton souvenir
Entends-tu mon invisible moi?
Entends-tu mon invisible moi?
Entends-tu ma reverie son boucan vient-il jusqu'a toi?
Percois-tu mon invisible moi?
Percois-tu mon invisible moi?
Allez, emporte-nous emporte nous deux
En un mot : ne me quitte jamais
Daniel Bélanger