Sanoja: Elodie Frégé. A Celle.
Tu dors, happe par des reves
Ou elles t'offrent sans remords
Le sucre, la seve
Mais sans ce coeur...qui bat
Se bat...contre toi
Tu dors, et nulle conscience
Ne saura t'eveiller
Pas son mal en silence
Qui tache l'oreiller...tu l'as
Deja...presque oubliee
A celle, qui a perdu l'estime
Pour elle meme qu'on abime
Parce qu'elle est la femme d'une vie
A celle, dont la fierte rend l'ame
Pour un fantasme d'homme
Qui lui a dit "je t'aime", avant.
A elle, dont le visage inspire
La pitie ou le rire...
Qui nourrit les bavards...souvent
Tu lis, les lueurs inquietes
Qui troublent ses regards
Ces silences qu'elle te jette
En cris de desespoir...tu pars
Sans voir...l'amour epars.
A celle, qui a perdu l'estime
Pour elle meme qu'on abime
Parce qu'elle est la femme d'une vie
A celle, dont la fierte rend l'ame
Pour un fantasme d'homme
Qui lui a dit "je t'aime", avant.
A elle, a l'instinctive mere
Qui pour ses enfants chers
A choisi de se taire...un temps !
Oh... a celle, qui se fuit du regard
Pour elle il est trop tarde
Puisqu'elle etait la femme d'une vie
A celle qui s'oublie sous le fard
Pour un fantasme rare
Qu'il lui dise "je t'aime" a temps
A elle...oh oh a elle
Ooh...
Ou elles t'offrent sans remords
Le sucre, la seve
Mais sans ce coeur...qui bat
Se bat...contre toi
Tu dors, et nulle conscience
Ne saura t'eveiller
Pas son mal en silence
Qui tache l'oreiller...tu l'as
Deja...presque oubliee
A celle, qui a perdu l'estime
Pour elle meme qu'on abime
Parce qu'elle est la femme d'une vie
A celle, dont la fierte rend l'ame
Pour un fantasme d'homme
Qui lui a dit "je t'aime", avant.
A elle, dont le visage inspire
La pitie ou le rire...
Qui nourrit les bavards...souvent
Tu lis, les lueurs inquietes
Qui troublent ses regards
Ces silences qu'elle te jette
En cris de desespoir...tu pars
Sans voir...l'amour epars.
A celle, qui a perdu l'estime
Pour elle meme qu'on abime
Parce qu'elle est la femme d'une vie
A celle, dont la fierte rend l'ame
Pour un fantasme d'homme
Qui lui a dit "je t'aime", avant.
A elle, a l'instinctive mere
Qui pour ses enfants chers
A choisi de se taire...un temps !
Oh... a celle, qui se fuit du regard
Pour elle il est trop tarde
Puisqu'elle etait la femme d'une vie
A celle qui s'oublie sous le fard
Pour un fantasme rare
Qu'il lui dise "je t'aime" a temps
A elle...oh oh a elle
Ooh...
Suositut
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