Sanoja: Etienne Daho. Saudade.
En ce mai de fous messages, j'ai un rendez-vous dans l'air
Inattendu et clair, deja je pars a ta decouverte
Ville bonne et offerte
C'est l'attrait du danger qui me mene a ce lieu
C'est d'instinct qu'tu me cherches et approches
Je sens que c'est toi
C'est l'aube que se ferment tes prunelles marine
Sous quel meridien se caresser, dans mes bras te cacher
Dans ces ruelles fantomes ou sur cette terrasse ou s'ecrase un soleil
Tu m'enseignes le langage des yeux, je reste sans voix
Les nuits au loin tu cherches l'ombre
Comment ris-tu avec les autres
Parfois aussi je m'abandonne
Mais au matin les dauphins se meurent de saudade
Ou mene ce tourbillon, cette valse d'avions
Aller au bout de toi et de moi
Vaincre la peur du vide, les ruptures d'equilibre
Si tes larmes se melent aux pluies de Novembre
Et que je dois en perir, je sombrerai avec joie
Inattendu et clair, deja je pars a ta decouverte
Ville bonne et offerte
C'est l'attrait du danger qui me mene a ce lieu
C'est d'instinct qu'tu me cherches et approches
Je sens que c'est toi
C'est l'aube que se ferment tes prunelles marine
Sous quel meridien se caresser, dans mes bras te cacher
Dans ces ruelles fantomes ou sur cette terrasse ou s'ecrase un soleil
Tu m'enseignes le langage des yeux, je reste sans voix
Les nuits au loin tu cherches l'ombre
Comment ris-tu avec les autres
Parfois aussi je m'abandonne
Mais au matin les dauphins se meurent de saudade
Ou mene ce tourbillon, cette valse d'avions
Aller au bout de toi et de moi
Vaincre la peur du vide, les ruptures d'equilibre
Si tes larmes se melent aux pluies de Novembre
Et que je dois en perir, je sombrerai avec joie
Etienne Daho
Etienne Daho