Sanoja: Marén Berg. OuverTüre. Pierre Sur Pierre.

Je sens le danger, la betise
Dans cette ville reunifiee
Pourtant tout ce qui nous divise
N'a pas vraiment ete coupe

Des levres pincees, bouches ameres
Me parlent de leur vie modique
Impuissantes, elles sont tributaires
Des clefs du pouvoir et du fric

Sie werden Dich zur Stadt rausjagen
Wenn Du auf ihren Rasen trittst
Und wie in langst vergessnen Tagen
Versteinert, was lebendig ist

STEIN AUF STEIN PIERRE SUR PIERRE
STEIN AUF STEIN PIERRE SUR PIERRE
STEIN AUF STEIN PIERRE SUR PIERRE
STEIN AUF STEIN PIERRE SUR PIERRE

Sie sind gefahrlich, die da wieder
Nach Ruhe und nach Ordnung schrein
Ein Leben lang duckten sie nieder
Was war, es soll vergessen sein

Cette nouvelle vie nait dans les larmes
Face aux vitrines de l'opulence
Ils pourraient bien prendre les armes
L'envie mene a la violence

Nees de la peur, de l'indifference
Des citadelles seront dressees
Peut-etre des murs d'inconscience
Avec les pierres du passe