Sanoja: Edith Piaf. Otras Canciones. Le Rendez-vous.
:
Ils etaient trois au rendez-vous
Qui se regardaient, les yeux fous.
Ils etaient trois au coin de la rue
Mais l'un n'etait pas attendu.
Ils etaient trois qui savaient bien
Que l'un d'eux tenait dans sa main
De quoi faire d'un ciel de mai
Un ciel de deuil a tout jamais.
Un de trop...
En ce court moment
Ou un nouveau roman
D'un autre prend la place,
Un de trop...
Qu'un seul bras etendu
Peut laisser etendu
Parmi les gens qui passent.
Ils etaient trois au rendez-vous
Qui se regardaient, les yeux fous.
Ils etaient trois qui savaient bien
Que tout tenait dans une main.
"Comme je l'aimais...
Comme elle m'aimait...
Que de belles heures..."
Songeait celui qui venait du passe.
"Comme je l'aime...
Et comme elle m'aime...
Cela vaut bien qu'on meure..."
Songeait celui qui l'avait remplace,
Mais elle... Mais elle...
A quoi songeait-elle,
En cet instant ou tout peut s'effacer ?
Ils etaient trois au rendez-vous
Qui se regardaient, les yeux fous.
Ils etaient trois au coin de la rue,
Mais l'un n'etait pas attendu.
Et celui-la savait tres bien
Que le passe n'y pouvait rien,
Que l'avenir est le plus fort,
Plus fort que tout et que la mort.
Et soudain... le bras s'est baisse.
Qui pouvait arreter
Un amour pres de naitre ?
Le bonheur peut encore danser
Et cette vie chanter,
Qui pouvait ne plus etre...
Ils etaient deux au rendez-vous
Qui s'en allaient heureux et fous
Vers leur soleil sans voir celui
Qui revenait seul dans sa nuit...
Ils etaient trois au rendez-vous
Qui se regardaient, les yeux fous.
Ils etaient trois au coin de la rue
Mais l'un n'etait pas attendu.
Ils etaient trois qui savaient bien
Que l'un d'eux tenait dans sa main
De quoi faire d'un ciel de mai
Un ciel de deuil a tout jamais.
Un de trop...
En ce court moment
Ou un nouveau roman
D'un autre prend la place,
Un de trop...
Qu'un seul bras etendu
Peut laisser etendu
Parmi les gens qui passent.
Ils etaient trois au rendez-vous
Qui se regardaient, les yeux fous.
Ils etaient trois qui savaient bien
Que tout tenait dans une main.
"Comme je l'aimais...
Comme elle m'aimait...
Que de belles heures..."
Songeait celui qui venait du passe.
"Comme je l'aime...
Et comme elle m'aime...
Cela vaut bien qu'on meure..."
Songeait celui qui l'avait remplace,
Mais elle... Mais elle...
A quoi songeait-elle,
En cet instant ou tout peut s'effacer ?
Ils etaient trois au rendez-vous
Qui se regardaient, les yeux fous.
Ils etaient trois au coin de la rue,
Mais l'un n'etait pas attendu.
Et celui-la savait tres bien
Que le passe n'y pouvait rien,
Que l'avenir est le plus fort,
Plus fort que tout et que la mort.
Et soudain... le bras s'est baisse.
Qui pouvait arreter
Un amour pres de naitre ?
Le bonheur peut encore danser
Et cette vie chanter,
Qui pouvait ne plus etre...
Ils etaient deux au rendez-vous
Qui s'en allaient heureux et fous
Vers leur soleil sans voir celui
Qui revenait seul dans sa nuit...
Otras Canciones
Piaf, Edith
Muita esiintyjiä