Sanoja: Pierre Lapointe. Le Columbarium.

J'ai tout leche les vitrines bravant le colombarium
Desormais, jamais plus
Non rien, ni vent, ni personne
Ne pourra m'empecher de souffrir en paix
D'aller lecher les vitrines du comlombarium.

J'ai deguste l'eglantine ornant le colombarium
Desormais, jamais plus
Non rien, ni vent, ni personne
Ne pourra m'empecher de manger par la racine
L'eglantine decorant le colombarium.

C'est un endroit presque magique
Qui ravive notre instinct tragique
Tout le monde est d'accord pour dire
Que la mort est chic
Au colombarium.

J'ai assemble toutes les planches placees au colombarium
Desormais, jamais plus
Non rien, ni vent, ni personne
Ne pourra m'empecher de dormir en paix
De sommeiller dans la boite du colombarium

J'ai exhibe mes peches sur l'autel du colombarium
Desormais, jamais plus
Non rien, ni vent, ni personne
Ne pourra m'empecher de croquer la pomme
D'aller pecher sur l'autel du colombarium.

C'est un endroit presque troublant
Brillant d'or, de noir et d'argent
Tout le monde est d'accord pour dire qu'il est epatant

Tout le monde est passe pour passer
Tout le monde a brule une parole
Tout le monde a pleure pour pleurer
Au colombarium, au colombarium
Au colombarium, au colombarium
Au colombarium, au colombarium.

(Merci a Roxane pour cettes paroles)