Sanoja: Saïan Supa Crew. Darkness.
C'est le darkness, adieu a l'allegresse,
C'est la noire messe , les loques naissent,
C'est le madness , la lumiere se baisse
C'est le madness , la lumiere se baisse
Son esprit , son ame , tout est acquis
Et ce , la faute a qui? La faute a trop d'eau
Dans son vin, peu d'ennemis , trop d'autos mais aussi de motos,
Tout ce qui flashe et saute aux yeux;
C'est tout ce qui l'anime , l'envenime
On l'aime tant: femmes et maitresses l'admirent au pieu
Respecte tant : meme ses parents l'appellent " monsieur"
Accepte tant :ses cheques l'immiscent dans tout milieu
il rit tant : du malheur d'autrui en disant : "j'fais mieux"
C'est la malchance quidebute , c'est le debut
De la fin qui s'execute , non fallait pas dire
" J'sais pas , j'verais plus tard , on en est pas la ",
Mais c'est comme ca que ca debute.
Monsieur devient fragile tel un joujou ,
Ne dit plus bonjour , ne dir plus coucou
Seul dans sa tete , avec ses dettes , il est vex'
d'etre l'egal de ceux qui font la quete.
Tete basse , poches pleines de crasse,
Il n'y peut rien mais c'est comme ca
Evidemment non , fallait qu'il prenne
Les devants tout lui rentre dedans
Situation complexe , sa complice s'accouple
Avec son compere , l'adieu s'est fait dans une lettre ou
la derniere phrase etait : " Ne vois -tu pas le temps que l'on perd?"
De gaffe en gaffe , monsieur perd son taf,
Ca ne pouvait plus durer , non il est vrai
Qu'c'est comme une baffe,
Et oui mais c'est comme ca que ca se passe,
On aplus besoin de lui , donc on le chasse
Plus de boulot , direction ANPE,
Ca touche le ciboulot , etre sans wago,
C'est comme si au pied il avait 6 boulets.
C'est le darkness, adieu a l'allegresse,
C'est la noire messe , les loques naissent ,
C'est le madness , la lumiere se baisse
C'est le madness , la lumiere se baisse
C'est la noire messe , les loques naissent,
C'est le madness , la lumiere se baisse
C'est le madness , la lumiere se baisse
Son esprit , son ame , tout est acquis
Et ce , la faute a qui? La faute a trop d'eau
Dans son vin, peu d'ennemis , trop d'autos mais aussi de motos,
Tout ce qui flashe et saute aux yeux;
C'est tout ce qui l'anime , l'envenime
On l'aime tant: femmes et maitresses l'admirent au pieu
Respecte tant : meme ses parents l'appellent " monsieur"
Accepte tant :ses cheques l'immiscent dans tout milieu
il rit tant : du malheur d'autrui en disant : "j'fais mieux"
C'est la malchance quidebute , c'est le debut
De la fin qui s'execute , non fallait pas dire
" J'sais pas , j'verais plus tard , on en est pas la ",
Mais c'est comme ca que ca debute.
Monsieur devient fragile tel un joujou ,
Ne dit plus bonjour , ne dir plus coucou
Seul dans sa tete , avec ses dettes , il est vex'
d'etre l'egal de ceux qui font la quete.
Tete basse , poches pleines de crasse,
Il n'y peut rien mais c'est comme ca
Evidemment non , fallait qu'il prenne
Les devants tout lui rentre dedans
Situation complexe , sa complice s'accouple
Avec son compere , l'adieu s'est fait dans une lettre ou
la derniere phrase etait : " Ne vois -tu pas le temps que l'on perd?"
De gaffe en gaffe , monsieur perd son taf,
Ca ne pouvait plus durer , non il est vrai
Qu'c'est comme une baffe,
Et oui mais c'est comme ca que ca se passe,
On aplus besoin de lui , donc on le chasse
Plus de boulot , direction ANPE,
Ca touche le ciboulot , etre sans wago,
C'est comme si au pied il avait 6 boulets.
C'est le darkness, adieu a l'allegresse,
C'est la noire messe , les loques naissent ,
C'est le madness , la lumiere se baisse
C'est le madness , la lumiere se baisse