Sanoja: Thiéfaine. Gynécées.
:
Nous sommes tous un peu trop fragiles
A regarder tomber la nuit
Sur le vert-de-gris de nos villes
Avec nos amours sous la pluie
Dans cette grisaille silencieuse
Ou les regards de nos deesses
Deviennent des ombres orageuses
Et chargees d'etrange tristesse
Elles
Magnifiquement belles
Elles
Magnifiquement
Elles ont cette folie si tranquille
Ce calme etrange au bord du stress
Quand nous trainons sur nos bequilles
A leur mendier de la tendresse
Elles sont si brillantes et si vraies
Dans le chaud velours de leurs nids
Pour nous pietres morveux distraits
Qui nous prenons pour des genies
Elles
Magnifiquement belles (bis)
Elles
Magnifiquement
Elles portent en nous des cris d'enfants
Comme au temps des cours de recre
Quand on attend l'heure des mamans
Au bout de nos coeurs estropies
Elles ont le monde entre leurs seins
Et nous sommes des oiseaux perdus
Des pterodactyles en declin
Avec des sentiments tordus
Nous sommes tous un peu trop fragiles
A regarder tomber la nuit
Sur le vert-de-gris de nos villes
Avec nos amours sous la pluie
Dans cette grisaille silencieuse
Ou les regards de nos deesses
Deviennent des ombres orageuses
Et chargees d'etrange tristesse
Elles
Magnifiquement belles
Elles
Magnifiquement
Elles ont cette folie si tranquille
Ce calme etrange au bord du stress
Quand nous trainons sur nos bequilles
A leur mendier de la tendresse
Elles sont si brillantes et si vraies
Dans le chaud velours de leurs nids
Pour nous pietres morveux distraits
Qui nous prenons pour des genies
Elles
Magnifiquement belles (bis)
Elles
Magnifiquement
Elles portent en nous des cris d'enfants
Comme au temps des cours de recre
Quand on attend l'heure des mamans
Au bout de nos coeurs estropies
Elles ont le monde entre leurs seins
Et nous sommes des oiseaux perdus
Des pterodactyles en declin
Avec des sentiments tordus
Thiéfaine
Thiéfaine