Sanoja: Willy Denzey. Au Firmament.
A l'epoque de nos jeunes ages,
Je n'ai su tourner la page...
Et dans ce malheur,
J'y ai laisse mon c?ur...
T'avoir vu allonge la,
Dans ce grand lit blanc et froid...
La vie avait quitte ton corps,
Et j'en pleure encore et encore...
Je revois ces deux enfants,
Qui ne comptaient pas le temps...
On se promettait des choses,
On voyait la vie en rose...
On ne s'est jamais quittes,
Meme durant les jours d'ete...
Et puis passe les semaines,
Jusqu'au tout premier "je t'aime"...
Au firmament, je veux etre avec toi,
Serre contre tes bras...
Au paradis des anges...
Au firmament, couches sur un nuage,
Caressant ton visage...
Personne ne nous derange...
A present, j'ai pris de l'age,
Et je revois ces images...
Car depuis ce malheur,
Mon ame reste ta demeure...
J'ai tente de t'oublier,
Et ton sourire, effacer...
D'autres t'ont remplace,
Mais ta presence les a repousse...
Je me souviens de nos nuits,
Ou l'amour noyait nos vies...
Et je te voulais pour femme,
Quand notre idylle tourna au drame...
Je t'ai veille jour et nuit,
Les Dieux, je les ai tous maudit...
Et puis passe les semaines,
Jusqu'au tout dernier "je t'aime"...
Au firmament, je veux etre avec toi,
Serre contre tes bras...
Au paradis des anges...
Au firmament, couches sur un nuage,
Caressant ton visage...
Personne ne nous derange...
Je n'ai su tourner la page...
Et dans ce malheur,
J'y ai laisse mon c?ur...
T'avoir vu allonge la,
Dans ce grand lit blanc et froid...
La vie avait quitte ton corps,
Et j'en pleure encore et encore...
Je revois ces deux enfants,
Qui ne comptaient pas le temps...
On se promettait des choses,
On voyait la vie en rose...
On ne s'est jamais quittes,
Meme durant les jours d'ete...
Et puis passe les semaines,
Jusqu'au tout premier "je t'aime"...
Au firmament, je veux etre avec toi,
Serre contre tes bras...
Au paradis des anges...
Au firmament, couches sur un nuage,
Caressant ton visage...
Personne ne nous derange...
A present, j'ai pris de l'age,
Et je revois ces images...
Car depuis ce malheur,
Mon ame reste ta demeure...
J'ai tente de t'oublier,
Et ton sourire, effacer...
D'autres t'ont remplace,
Mais ta presence les a repousse...
Je me souviens de nos nuits,
Ou l'amour noyait nos vies...
Et je te voulais pour femme,
Quand notre idylle tourna au drame...
Je t'ai veille jour et nuit,
Les Dieux, je les ai tous maudit...
Et puis passe les semaines,
Jusqu'au tout dernier "je t'aime"...
Au firmament, je veux etre avec toi,
Serre contre tes bras...
Au paradis des anges...
Au firmament, couches sur un nuage,
Caressant ton visage...
Personne ne nous derange...